Vue de l'exposition "L'esprit Mingei au Japon"
30 sept. 2008 11 janv. 2009

L'esprit Mingei au Japon

De l’artisanat populaire au design

L'exposition traite du rapport établi au XXe siècle entre le regain d'intérêt pour les arts traditionnels et l'évolution de l'art moderne international à travers le design.

A propos de l'exposition

"Dans cette exposition, à partir d’un cas précis - celui du penseur Yanagi Soetsu, promoteur du mouvement « Mingei », et son fils Yanagi Sori, premier designer d’après-guerre -, il s’agit de réfléchir au rapport que le XXème siècle a établi entre la redécouverte de certains arts traditionnels et l’évolution de l’art moderne international à travers le design.

Cette dynamique sort la perception des arts populaires traditionnels d’un point de vue strictement ethnographique ou anthropologique, pour l’inscrire dans une situation  historique précise : celle du Japon de la première moitié du XXème siècle (jusqu’à la fin des années cinquante). Il s’agit aussi d’une perspective esthétique, morale et formelle, qui trouve aujourd’hui ses échos dans les « formes originelles » de certains designers contemporains. "

Note d'intention du comissaire de l'exposition, Germain Viatte

  • commissaire d’exposition 

    • Germain Viatte

    commissaire adjoint

    • Akemi Shiraha
  • Lieu :   Galerie Jardin
  • Dates :  
    Du mardi 30 septembre 2008 au dimanche 11 janvier 2009
  • Fermeture le lundi
    mardi, mercredi, vendredi, samedi, dimanche :  10h30-19h00
    jeudi :  10h30-22h00
  • Public :   Tous publics
  • Categorie : Expositions

Le terme "Mingei"

Dans cette exposition, à partir d’un cas précis - celui du penseur Yanagi Soetsu, promoteur du mouvement « Mingei », et son fils Yanagi Sori, premier designer d’après-guerre -, il s’agit de réfléchir au rapport que le XXème siècle a établi entre la redécouverte de certains arts traditionnels et l’évolution de l’art moderne international à travers le design.

Cette dynamique sort la perception des arts populaires traditionnels d’un point de vue strictement ethnographique ou anthropologique, pour l’inscrire dans une situation  historique précise : celle du Japon de la première moitié du XXème siècle (jusqu’à la fin des années cinquante). Il s’agit aussi d’une perspective esthétique, morale et formelle, qui trouve aujourd’hui ses échos dans les « formes originelles » de certains designers contemporains.