Souvent le mode de montage, la structure interne et le possible contenu de ces objets nous échappent, ne laissant pas deviner leur extrême raffinement à l’allure extérieure parfois moins travaillée, car moins essentielle à leurs yeux. De ce défi que représentent l’étude et la conservation de collections ethnographiques est née l’idée de détourner les outils de numérisation à visée médicale que sont le scanner et l’impression 3D, pour les mettre au service de la connaissance et de la conservation des œuvres.

À partir de pièces choisies parmi les collections du musée, l'installation présente l’apport de ces nouveaux outils ainsi que les perspectives d’étude des collections du patrimoine jusqu’alors insoupçonnées, tant dans le domaine de l’étude, de la conservation et de la restauration, que dans celle de la médiation.

Avec le soutien de la Fondation Martine Aublet

Sous l’égide de la Fondation de France